Résumé
L’équipe de soccer de Rivière-aux-Moustiques serait-elle sous l’emprise du mauvais oeil?
Les Atypiques entament leur saison de soccer, mais quelqu’un semble vouloir provoquer leur défaite. Tandis que les mises en scène effrayantes se multiplient devant les maisons des joueurs et qu’une vieille femme ayant tout l’aspect d’une sorcière assiste à leurs matchs, les jeunes ont de bonnes raisons de croire qu’un maléfice leur a été lancé.
Camille Bouchard
Camille Bouchard entraîne ses lecteurs, grands et petits, sur divers continents en de nombreuses époques. Auteur et aventurier,...
Camille Bouchard entraîne ses lecteurs, grands et petits, sur divers continents en de nombreuses époques. Auteur et aventurier, il a écrit plus de 100...
Camille Bouchard entraîne ses lecteurs, grands et petits, sur divers continents en de nombreuses époques. Auteur et aventurier, il a écrit plus de 100 romans. Il vit désormais entouré...
Camille Bouchard entraîne ses lecteurs, grands et petits, sur divers continents en de nombreuses époques. Auteur et aventurier, il a écrit plus de 100 romans. Il vit désormais entouré d’animaux dans sa fermette au Centre-du-Québec. Ses œuvres ont remporté de multiples et importantes récompenses. Il fut lauréat d’un Prix du Gouverneur général en 2005, puis finaliste à sept...
Camille Bouchard entraîne ses lecteurs, grands et petits, sur divers continents en de nombreuses époques. Auteur et aventurier, il a écrit plus de 100 romans. Il vit désormais entouré d’animaux dans sa fermette au Centre-du-Québec. Ses œuvres ont remporté de multiples et importantes récompenses. Il fut lauréat d’un Prix du...
Camille Bouchard entraîne ses lecteurs, grands et petits, sur divers continents en de nombreuses époques. Auteur et aventurier, il a écrit plus de 100 romans. Il vit désormais entouré d’animaux dans sa fermette au Centre-du-Québec. Ses œuvres ont remporté de multiples et importantes récompenses. Il fut lauréat d’un Prix du Gouverneur général en 2005, puis finaliste à sept reprises,...
— Ça va, Pacifique ! Tu peux lâcher la sonnette. La boîte électrique va exploser, sinon.
C’est quand il retire son index dans un sursaut que je remarque que mon copain est très nerveux. Il ne s’était pas rendu compte qu’il poussait toujours sur le bouton. De la sueur perle sur son front, à la racine de ses cheveux. Ses grosses joues ballottent.
Je fronce les sourcils et demande :
— Qu’est-ce qui se passe ?
— Re… regarde, Iago, balbutie-t-il en désignant de l’index un angle de la maison que je ne peux apercevoir de l’intérieur.
Je m’avance sur le perron et tourne la tête vers l’extrémité du terrain. Un chêne deux fois plus haut que la résidence monte la garde dans cette partie de la cour.
Tout à coup, je sens les poils se hérisser sur mes bras, et un frisson glacial parcourir ma nuque. Je manque de laisser échapper le verre que je tiens dans mes mains.
Pendu par une jambe à l’une des branches de l’arbre se balance un bébé couvert de sang! Il… Non! C’est… c’est une poupée. Une poupée décapitée, enduite de ketchup ! Mais pendant une seconde, j’ai vraiment cru que… Ouf !
— Et il y a la même chez moi! tremblote la voix de Pacifique. Sauf que la poupée est noire. Comme moi.