Résumé
Gaston adore sa maîtresse. Maîtresse adore Gaston. Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes et cela pourrait durer toujours. Mais l’arrivée d’un intrus vient bouleverser cet univers douillet. Aussitôt, Gaston voit sa vie prendre une tournure aussi cruelle qu’inattendue. Gardien fidèle d’une femme aimante, il change de rôle pour celui de prisonnier. Victime de Barbu-L’Air-Bête et livré en pâture à un mini bourreau, Gaston-Le-Grognon réussira-t-il à sortir de cette impasse?
Anique Poitras
Adolescente, Anique Poitras avait un rêve : écrire et être lue pour toucher les gens. Elle réalise son ambition lorsqu’elle...
Adolescente, Anique Poitras avait un rêve : écrire et être lue pour toucher les gens. Elle réalise son ambition lorsqu’elle publie La Lumière blanche,...
Adolescente, Anique Poitras avait un rêve : écrire et être lue pour toucher les gens. Elle réalise son ambition lorsqu’elle publie La Lumière blanche, en 1993. Premier jalon d’une...
Adolescente, Anique Poitras avait un rêve : écrire et être lue pour toucher les gens. Elle réalise son ambition lorsqu’elle publie La Lumière blanche, en 1993. Premier jalon d’une série complétée par La Deuxième vie et La Chambre d’Eden I et II, ce roman a marqué des milliers de lectrices et de lecteurs et constitue aujourd’hui un incontournable de la littérature jeunesse...
Adolescente, Anique Poitras avait un rêve : écrire et être lue pour toucher les gens. Elle réalise son ambition lorsqu’elle publie La Lumière blanche, en 1993. Premier jalon d’une série complétée par La Deuxième vie et La Chambre d’Eden I et II, ce roman a marqué des milliers de lectrices et de lecteurs et constitue...
Adolescente, Anique Poitras avait un rêve : écrire et être lue pour toucher les gens. Elle réalise son ambition lorsqu’elle publie La Lumière blanche, en 1993. Premier jalon d’une série complétée par La Deuxième vie et La Chambre d’Eden I et II, ce roman a marqué des milliers de lectrices et de lecteurs et constitue aujourd’hui un incontournable de la littérature jeunesse québécoise....
Bruno Saint-Aubin
Quand Barbu-L’Intrus était dans les parages, je n’avais plus la permission de dormir avec Maîtresse. Selon lui, ce n’était pas hygiénique! Et les parages se voyaient de plus en plus envahis par l’indésirable présence du malotru!
L’achalant venait de plus en plus souvent, et restait de plus en plus longtemps.
Je n’avais plus le droit de monter sur la table ou sur le comptoir de la cuisine. (Maîtresse avait toujours affirmé que je n’avais pas le droit, mais elle me laissait faire.) Offusqué, Monsieur se permettait de me chasser en m’arrosant d’eau froide avec la bouteille à asperger les plantes. Sans demander l’avis de Maîtresse, bien sûr!