Résumé
Alfred, le rat d’égout, habite toujours chez son ami Antoine. Mais voilà que, un bon matin, ce cher Alfred décide qu’il en a assez de vivre aux crochets de la famille Brisson et déclare qu’il doit gagner sa vie! Il sera l’assistant de Roméo Robinet, l’électricien du quartier. Qui, mieux qu’un rat, pourrait s’aventurer à l’intérieur des murs? Mais les murs d’un immense manoir cachent parfois des secrets… Alfred y fera une découverte extraordinaire et entraînera Antoine dans un suspense à couper le souffle. L’humour, l’amitié et le mystère sont au rendez-vous.
Yves Beauchemin
Né en 1941 à Rouyn-Noranda, Yves Beauchemin est un écrivain phare de la littérature québécoise. Auteur de plusieurs romans,...
Né en 1941 à Rouyn-Noranda, Yves Beauchemin est un écrivain phare de la littérature québécoise. Auteur de plusieurs romans, dont les célèbres Le Matou...
Né en 1941 à Rouyn-Noranda, Yves Beauchemin est un écrivain phare de la littérature québécoise. Auteur de plusieurs romans, dont les célèbres Le Matou et Juliette Pomerleau, tous...
Né en 1941 à Rouyn-Noranda, Yves Beauchemin est un écrivain phare de la littérature québécoise. Auteur de plusieurs romans, dont les célèbres Le Matou et Juliette Pomerleau, tous deux portés à l’écran, il est membre de l’Académie des lettres du Québec et Officier de l’Ordre national du Québec. En 2011, il s’est vu décerner le prix Ludger-Duvernay, qui souligne la...
Né en 1941 à Rouyn-Noranda, Yves Beauchemin est un écrivain phare de la littérature québécoise. Auteur de plusieurs romans, dont les célèbres Le Matou et Juliette Pomerleau, tous deux portés à l’écran, il est membre de l’Académie des lettres du Québec et Officier de l’Ordre national du Québec. En 2011, il s’est vu...
Né en 1941 à Rouyn-Noranda, Yves Beauchemin est un écrivain phare de la littérature québécoise. Auteur de plusieurs romans, dont les célèbres Le Matou et Juliette Pomerleau, tous deux portés à l’écran, il est membre de l’Académie des lettres du Québec et Officier de l’Ordre national du Québec. En 2011, il s’est vu décerner le prix Ludger-Duvernay, qui souligne la contribution...
La première fois où, caché dans un lustre, Alfred avait aperçu Alphonse Grincefort, l’homme lui avait déplu. Il avait beau, à force de vivre chez les Brisson, s’être un peu déshabitué de la crasse, là, vraiment, c’en était trop! L’homme souffrait d’une propreté véritablement scandaleuse! On avait beau chercher, impossible de trouver sur sa personne la moindre tache de graisse, le plus petit accroc, ne serait-ce même qu’une chiure de mouche ou un grain de poussière, toutes choses qui donnent aux gens une allure tellement humaine et sympathique. Il était si désespérément impeccable qu’on avait le goût de se jeter à terre et de donner des coups de poing sur le sol en pleurant.