Résumé
Quatrième et dernier tome de la série Sionrah, La Fin d’un monde propose un suspense fantastique, enlevant et plein de retournements.
Une seule chose saurait rétablir la préséance du bien sur la Terre : l’union des trois élus. Cette rencontre semble plus urgente mais plus improbable que jamais. Tandis que Kireg, le troisième enfant de la prophétie, est entre la vie et la mort et qu’il demeure impossible à retracer, Alison Sauren poursuit sans relâche les élus afin de les éliminer. L’Ordre orchestre pour sa part une pandémie dévastatrice visant à réduire la population mondiale.
Malgré le travail courageux de Rudy Forest, qui cherche à éradiquer l’épidémie; malgré l’audace de la journaliste Nancy Riopelle, qui poursuit le travail de dénonciation des actes de l’Ordre; et malgré les efforts inlassables et les dons de Leyla, Mégane et leurs alliés, le temps est désormais compté et la fin est proche. L’armée de Goulhen s’apprête à envahir la Terre et profite de l’existence de ramifications jusqu’au Vatican.
Le roman éprouve et ébranle profondément les personnages et les lecteurs qui suivent cette quête depuis ses débuts. Critique du monde d’aujourd’hui et de ses dérives, exposant ses cruautés et ses injustices, Sionrah prêche pour un monde meilleur et plus lucide.
Line Bordeleau
Native de Québec, Line Bordeleau a tout d’abord œuvré dans le milieu de la mode à titre de dessinatrice/styliste, coloriste...
Native de Québec, Line Bordeleau a tout d’abord œuvré dans le milieu de la mode à titre de dessinatrice/styliste, coloriste et patronniste. Artiste dans...
Native de Québec, Line Bordeleau a tout d’abord œuvré dans le milieu de la mode à titre de dessinatrice/styliste, coloriste et patronniste. Artiste dans l’âme, elle a touché à...
Native de Québec, Line Bordeleau a tout d’abord œuvré dans le milieu de la mode à titre de dessinatrice/styliste, coloriste et patronniste. Artiste dans l’âme, elle a touché à pratiquement toutes les facettes de l’art, de l’aménagement d’intérieur à la photographie en passant par la peinture à l’huile, la peinture sur bois, l’architecture et l’arrangement paysager....
Native de Québec, Line Bordeleau a tout d’abord œuvré dans le milieu de la mode à titre de dessinatrice/styliste, coloriste et patronniste. Artiste dans l’âme, elle a touché à pratiquement toutes les facettes de l’art, de l’aménagement d’intérieur à la photographie en passant par la peinture à l’huile, la peinture...
Native de Québec, Line Bordeleau a tout d’abord œuvré dans le milieu de la mode à titre de dessinatrice/styliste, coloriste et patronniste. Artiste dans l’âme, elle a touché à pratiquement toutes les facettes de l’art, de l’aménagement d’intérieur à la photographie en passant par la peinture à l’huile, la peinture sur bois, l’architecture et l’arrangement paysager. Autodidacte,...
Rielle Lévesque
C’est une sensation bien étrange qu’éprouve Kireg en ce moment. Une impression de confusion organisée, située quelque part entre l’éveil et le rêve, à la limite du concret et de l’abstrait. (…) En fait, il se sent plus léger, enfin libéré des contraintes du monde matériel. Dans un sursaut de lucidité, il se demande tout à coup si son cerveau s’est éteint tout de suite après son dernier battement de cœur ou si une certaine forme d’activité cérébrale a subsisté. Puis il se dit que même si son enveloppe charnelle a disparu, cédant ainsi la place à un corps éthérique beaucoup moins dense, il a forcément conservé une étincelle de conscience puisqu’il peut de toute évidence réfléchir et organiser ses pensées.
Un regard rétrospectif sur son existence antérieure lui fait réaliser à quel point tout est relatif : le temps, l’espace, la vie, la mort, le bien, le mal. Ce qui le trouble, surtout, c’est cette sensation étrange d’avoir tenu un rôle tout au long de son existence, d’avoir joué dans un film, celui de sa propre vie. Maintenant qu’il peut contempler le scénario dans son ensemble, il constate, avec un certain détachement, que les épreuves auxquelles son corps et son esprit ont été soumis durant cette période n’avaient pour seul et unique but que de permettre à sa conscience de franchir un cap (…) Il lâche prise tout en sachant désormais que plus rien ne peut l’atteindre. Comme l’acteur en lui a joué sa dernière scène, il peut tirer sa révérence