Résumé
Peut-on guérir de la perte d’un grand amour ? Si Juliette s’était dit oui, il n’y aurait pas eu Roméo et Juliette. Si Sara s’était dit non, il n’y aurait pas eu de suite à La Lumière blanche. Comme l’affirme notre héroïne : « On ne rentre pas de l’au-delà comme on revient de chez le dépanneur ! ». Si l’épreuve a un cadeau à offrir, personne n’a dit qu’il était facile à déballer. Et si ça en valait la peine… et la joie ?
Une histoire de courage, d’espoir, d’amitié et, qui sait… d’amour à suivre !
Anique Poitras
Adolescente, Anique Poitras avait un rêve : écrire et être lue pour toucher les gens. Elle réalise son ambition lorsqu’elle...
Adolescente, Anique Poitras avait un rêve : écrire et être lue pour toucher les gens. Elle réalise son ambition lorsqu’elle publie La Lumière blanche,...
Adolescente, Anique Poitras avait un rêve : écrire et être lue pour toucher les gens. Elle réalise son ambition lorsqu’elle publie La Lumière blanche, en 1993. Premier jalon d’une...
Adolescente, Anique Poitras avait un rêve : écrire et être lue pour toucher les gens. Elle réalise son ambition lorsqu’elle publie La Lumière blanche, en 1993. Premier jalon d’une série complétée par La Deuxième vie et La Chambre d’Eden I et II, ce roman a marqué des milliers de lectrices et de lecteurs et constitue aujourd’hui un incontournable de la littérature jeunesse...
Adolescente, Anique Poitras avait un rêve : écrire et être lue pour toucher les gens. Elle réalise son ambition lorsqu’elle publie La Lumière blanche, en 1993. Premier jalon d’une série complétée par La Deuxième vie et La Chambre d’Eden I et II, ce roman a marqué des milliers de lectrices et de lecteurs et constitue...
Adolescente, Anique Poitras avait un rêve : écrire et être lue pour toucher les gens. Elle réalise son ambition lorsqu’elle publie La Lumière blanche, en 1993. Premier jalon d’une série complétée par La Deuxième vie et La Chambre d’Eden I et II, ce roman a marqué des milliers de lectrices et de lecteurs et constitue aujourd’hui un incontournable de la littérature jeunesse québécoise....
Mandoline commence à m’inquiéter sérieusement. Un matin, il y a deux semaines, elle a fait une entrée remarquée avec son look Marilyn Monroe. Depuis sa dernière métamorphose, elle sèche ses cours de plus en plus souvent et les raisons qu’elle donne tiennent de moins en moins debout.
Dès que j’essaie d’aborder le sujet, elle se défile. Elle sait que je ne crois pas à ses prétextes, mais elle joue à faire semblant, même avec moi. Notre amitié nous glisse entre les doigts comme une poignée de sable fin et cela m’attriste. Je l’aime tellement, cette fille!
Et qui est cet oncle qui vient l’attendre, dans sa Porsche rouge, à la sortie de l’école pour l’amener à ses rendez-vous chez le dentiste ou chez «sa tante malade» ?