Résumé
Inspiré de la populaire série télévisée, Les Cauchemars de Michel Couillard est le deuxième titre de la collection Watatatow, publiée chez Québec Amérique.
Quels sont-ils les cauchemars de Michel Couillard ? Lui, toujours si maître de lui-même et de son monde, voilà que tout menace de lui échapper ! Découvrez une aventure inédite de Watatatow. Retrouvez Michel aux prises avec quelques vieux fantômes et voyez comment il arrive, une fois encore, à mettre son univers «à sa main». Faites la rencontre d’un Couillard inquiet, apeuré, mais égal à lui-même: fonceur et positif !
Michèle Frémont
Michèle Frémont est professeure de théâtre et de littérature. Mère de deux adolescentes, elle connaît leur univers et,...
Michèle Frémont est professeure de théâtre et de littérature. Mère de deux adolescentes, elle connaît leur univers et, évidemment, la série Watatatow....
Michèle Frémont est professeure de théâtre et de littérature. Mère de deux adolescentes, elle connaît leur univers et, évidemment, la série Watatatow. Auteure de grammaires et de...
Michèle Frémont est professeure de théâtre et de littérature. Mère de deux adolescentes, elle connaît leur univers et, évidemment, la série Watatatow. Auteure de grammaires et de cours par correspondance, voici sa première œuvre de fiction.
Michèle Frémont est professeure de théâtre et de littérature. Mère de deux adolescentes, elle connaît leur univers et, évidemment, la série Watatatow. Auteure de grammaires et de cours par correspondance, voici sa première œuvre de fiction.
Michèle Frémont est professeure de théâtre et de littérature. Mère de deux adolescentes, elle connaît leur univers et, évidemment, la série Watatatow. Auteure de grammaires et de cours par correspondance, voici sa première œuvre de fiction.
C’est lentement, une à une, qu’il tourna les poignées et fit glisser les tiroirs, lentement, un à un, qu’il regarda, examina même les cadavres qui s’y trouvaient, ne prenant pas la peine de repousser le tiroir après sa méticuleuse observation.
Il en compta seize. Huit hommes, six femmes et deux enfants, répartis tout autour de la pièce. Il n’y reconnut personne. Il savait bien qu’il n’y reconnaîtrait personne, encore moins lui-même, non plus que Marie, Charles, Steph ou Michèle. Il le savait, mais n’en était pas moins convaincu qu’il se devait de le faire, ne serait-ce que pour se prouver à lui-même qu’il pouvait faire face à cela seul, à la noirceur, car il y a des choses, même si elles paraissent absurdes, qu’il est impossible de ne pas affronter.
