Résumé
Vous trouverez dans cet ouvrage splendide un historique – en anglais et en français – des premiers balbutiements du Grand Prix du Canada. On explique comment le premier circuit canadien du Grand Prix, à Mosport, considéré inadéquat, a cédé la place à Montréal comme lieu de prédilection pour la tenue du Grand Prix du Canada en 1978. On raconte les premiers spectaculaires exploits de Gilles Villeneuve, à la fin des années 70, puis les tragédies qui ont suivi et les exploits qui s’y sont accomplis, jusqu’à l’entrée en scène du célèbre Lewis Hamilton. Du plus long Grand Prix de l’histoire (à cause des intempéries) aux mésententes avec Ecclestone en passant par la rude compétition entre les frères Schumacher et, bien entendu, les prestations de Jacques Villeneuve, tous les faits saillants – chronomètres à l’appui – du Grand Prix du Canada, de 1978 à 2017 inclusivement, sont racontés et, surtout, imagés dans ce livre.
This special book tells the story—in both English and French—of the Canadian Grand Prix from its very beginnings. Read about how Mosport, Canada’s first Grand Prix circuit, came to be considered unsafe and gave way to Montreal for the 1978 edition of the Canadian Grand Prix. Relive the early spectacular exploits of Gilles Villeneuve in the late ‘70s and look back at Formula 1’s multiple tragedies and exploits over the years before the legendary Lewis Hamilton came on the scene. All the highlights of the Grand Prix du Canada from 1978 to 2017 are right here in words and in photos, from the longest Grand Prix race in history (due to inclement weather) to the countless quarrels with Ecclestone, the Schumacher brothers’ sibling rivalry and, of course, the reign of Gilles’ son, Jacques Villeneuve.
Bernard Brault
En 1974, Bernard Brault achète son tout premier appareil photo. En avril 1984, sa vie professionnelle prend un tournant ...
En 1974, Bernard Brault achète son tout premier appareil photo. En avril 1984, sa vie professionnelle prend un tournant définitif lorsqu’il est recruté ...
En 1974, Bernard Brault achète son tout premier appareil photo. En avril 1984, sa vie professionnelle prend un tournant définitif lorsqu’il est recruté par le quotidien montréalais La ...
En 1974, Bernard Brault achète son tout premier appareil photo. En avril 1984, sa vie professionnelle prend un tournant définitif lorsqu’il est recruté par le quotidien montréalais La Presse, où il oeuvre encore et pour le compte duquel il a entre autres été affecté à douze occasions, été comme hiver, à la couverture des Jeux olympiques, de Lillehammer en 1994 à PyeongChang en ...
En 1974, Bernard Brault achète son tout premier appareil photo. En avril 1984, sa vie professionnelle prend un tournant définitif lorsqu’il est recruté par le quotidien montréalais La Presse, où il oeuvre encore et pour le compte duquel il a entre autres été affecté à douze occasions, été comme hiver, à la couverture des ...
En 1974, Bernard Brault achète son tout premier appareil photo. En avril 1984, sa vie professionnelle prend un tournant définitif lorsqu’il est recruté par le quotidien montréalais La Presse, où il oeuvre encore et pour le compte duquel il a entre autres été affecté à douze occasions, été comme hiver, à la couverture des Jeux olympiques, de Lillehammer en 1994 à PyeongChang en 2018. Depuis ...
Normand Prieur
Normand Prieur œuvre en journalisme et en affaires publiques depuis bientôt cinq décennies. Il contribue activement au Grand ...
Normand Prieur œuvre en journalisme et en affaires publiques depuis bientôt cinq décennies. Il contribue activement au Grand Prix du Canada depuis plus de ...
Normand Prieur œuvre en journalisme et en affaires publiques depuis bientôt cinq décennies. Il contribue activement au Grand Prix du Canada depuis plus de vingt ans, mais a assisté à ...
Normand Prieur œuvre en journalisme et en affaires publiques depuis bientôt cinq décennies. Il contribue activement au Grand Prix du Canada depuis plus de vingt ans, mais a assisté à toutes ses éditions depuis 1990. Actuellement, il demeure rédacteur principal et conseiller spécial auprès de l’actuel promoteur de l’événement. Depuis 1998, il est aussi l’éditeur délégué et ...
Normand Prieur œuvre en journalisme et en affaires publiques depuis bientôt cinq décennies. Il contribue activement au Grand Prix du Canada depuis plus de vingt ans, mais a assisté à toutes ses éditions depuis 1990. Actuellement, il demeure rédacteur principal et conseiller spécial auprès de l’actuel promoteur de ...
Normand Prieur œuvre en journalisme et en affaires publiques depuis bientôt cinq décennies. Il contribue activement au Grand Prix du Canada depuis plus de vingt ans, mais a assisté à toutes ses éditions depuis 1990. Actuellement, il demeure rédacteur principal et conseiller spécial auprès de l’actuel promoteur de l’événement. Depuis 1998, il est aussi l’éditeur délégué et principal ...
Installé à compter de 1967 sur le circuit de Mosport, au nord de Toronto, le Grand Prix du Canada de Formule 1 était devenu un événement majeur au calendrier sportif annuel du… Canada anglais ! Il y avait bien eu tentative de faire alterner la manche canadienne du championnat du monde entre l’Ontario et le Québec avec la tenue des éditions de 1968 et 1970 sur le circuit alors appelé « Mont-Tremblant–Saint-Jovite », dans les Laurentides, au nord de Montréal; mais après ces excursions en terre québécoise, Mosport devint le site permanent de la manche canadienne du championnat du monde.
À l’automne 1977, toutefois, un déplacement historique vers la métropole québécoise allait se produire. Il est survenu au moment où, pour la première fois de l’histoire, un Canadien et de surcroît un Francophone était titularisé au sein de la plus prestigieuse équipe du sport automobile. Ce pilote qui, à la fin de l’adolescence « coursait » sur les routes et les rangs de la région de Berthierville, le célèbre Commandatore Enzo Ferrari l’avait vu s’exécuter sur le circuit de Silverstone, au volant d’une McLaren, en juillet 1977. Cela avait presque suffi à le convaincre de faire une place au sein de sa Scuderia à celui qu’il allait bientôt appeler le Piccolo Canadese. Désormais chez Ferrari, Gilles Villeneuve allait se mesurer aux plus grands.
The world championship race that would become the Formula 1 Grand Prix du Canada first emerged in 1967 at the Mosport circuit north of Toronto and soon grew to become a key fixture on Canada’s annual sporting calendar. In the beginning, the Canadian round of the world championship alternated between Ontario and Quebec, with the 1968 and 1970 events held on the Circuit Mont-Tremblant in the Laurentian Mountains, north of Montreal, though Mosport would later become the permanent site for the race.
The fall of 1977, however, would bring a historic move to Quebec’s largest city. It came at a momentous time when, a Canadian—and a local hotshot, no less—had just been recruited by the most prestigious motorsport team of them all. Gilles Villeneuve spent his late teens speeding around the highways and country roads of Berthierville, near Montreal. When the legendary Commandatore Enzo Ferrari saw Villeneuve perform on the Silverstone track at the wheel of a McLaren, in July of 1977, it didn’t take much to convince him to make room in the Scuderia for the man he was soon to dub Piccolo Canadese. Gilles Villeneuve was about to run with the big boys.