Résumé
À la fin des années 1920, le Salon Gaby Bernier a le vent dans les voiles. Il offre des tenues originales et des confections à partir de matériaux jusque-là méconnus. Par son audace, Gaby attire l’attention de la société montréalaise. Célibataire, elle voyage régulièrement en Europe, adopte un enfant, et vit une histoire d’amour avec Pit Lépine, joueur renommé du Canadien de Montréal. Elle ose même porter ses propres créations lors de son défilé de mode au Ritz Carlton et en verse les profits au Children’s Memorial Hospital.
Pauline Gill
Passer de l’enseignement à l’écriture, un défi à la portée de Pauline Gill. Depuis 29 ans, une passion l’anime : ...
Passer de l’enseignement à l’écriture, un défi à la portée de Pauline Gill. Depuis 29 ans, une passion l’anime : sortir nos pionnières de ...
Passer de l’enseignement à l’écriture, un défi à la portée de Pauline Gill. Depuis 29 ans, une passion l’anime : sortir nos pionnières de l’anonymat. Victoire Du Sault, ...
Passer de l’enseignement à l’écriture, un défi à la portée de Pauline Gill. Depuis 29 ans, une passion l’anime : sortir nos pionnières de l’anonymat. Victoire Du Sault, cordonnière, Irma LeVasseur, première femme à pratiquer la médecine au Québec, Gaby Bernier, créatrice de mode ont ouvert la voie à la publication d’un nouvel ouvrage révélant le parcours d’Elsie Reford.
Passer de l’enseignement à l’écriture, un défi à la portée de Pauline Gill. Depuis 29 ans, une passion l’anime : sortir nos pionnières de l’anonymat. Victoire Du Sault, cordonnière, Irma LeVasseur, première femme à pratiquer la médecine au Québec, Gaby Bernier, créatrice de mode ont ouvert la voie à la publication ...
Passer de l’enseignement à l’écriture, un défi à la portée de Pauline Gill. Depuis 29 ans, une passion l’anime : sortir nos pionnières de l’anonymat. Victoire Du Sault, cordonnière, Irma LeVasseur, première femme à pratiquer la médecine au Québec, Gaby Bernier, créatrice de mode ont ouvert la voie à la publication d’un nouvel ouvrage révélant le parcours d’Elsie Reford.
De tous les apprentissages que j’ai faits dans ma vie, le plus déroutant fut celui de la maternité, même si elle n’est pas physique. À mes dépens, j’ai découvert qu’on ne devient pas mère comme on devient patronne ou créatrice de mode. Je connais bien les fibres de nombre de tissus. Je pense savoir comment toucher celles de mes clientes. Celles de mon amant aussi. Mais j’ai du mal à identifier celles d’une vraie mère. C’est comme si, pour bien protéger cet enfant, je devais avoir peur ou avoir de la peine avant lui. Comme si en chaque circonstance, je devrais penser à lui, à ses émotions, à ses réactions avant de penser à moi. Au lieu de ne penser qu’à moi. Je constate que tant que Jean n’aura pas ses vingt et un ans, je ne serai plus seule au gouvernail de ma vie. Serai-je capable de toujours en tenir compte? Me serais-je trompée en croyant que l’amour que je ressens pour lui suffit à me dicter les bons mots, les bonnes attitudes, les bonnes décisions? Je sens le besoin de prendre des leçons. Mais qui donc pourrait m’enseigner le métier de mère?