Résumé
De l’Abitibi à Montréal, en passant par Toronto ou Destin, dans l’État de la Floride, nul n’est à l’abri des tentations. Si visiblement, tout le monde souhaite améliorer son sort, il semble que certains cherchent à prendre quelques raccourcis…
NOUVELLES DE LUC BARANGER
1. Les voies du Seigneur sont impitoyables
2. Les chats ne font pas les chiens
3. Bien mal acquis…
4. Du blond dans l’aile
5. La vengeance de la pelouse
6. Le passage du Relais
NOUVELLES D’ANDRÉ MAROIS
7. Cash !
8. Haut vol
9. Toucher le jackpot, c’est hot !
10. Si le crime ne paie plus qui va régler l’addition ?
11. Servez-vous, c’est gratis !
12. Toutes mes excuses
NOUVELLE À QUATRE MAINS
13. Blanc comme nègre
Luc Baranger
Depuis treize ans et autant de romans, cet auteur flirte avec l’escroquerie. Il s’est accaparé les destins de dizaines de...
Depuis treize ans et autant de romans, cet auteur flirte avec l’escroquerie. Il s’est accaparé les destins de dizaines de personnages au point de...
Depuis treize ans et autant de romans, cet auteur flirte avec l’escroquerie. Il s’est accaparé les destins de dizaines de personnages au point de figurer en bonne place dans le ...
Depuis treize ans et autant de romans, cet auteur flirte avec l’escroquerie. Il s’est accaparé les destins de dizaines de personnages au point de figurer en bonne place dans le Dictionnaire des littératures policières de Claude Mesplèdes.
Le recueil de nouvelles intitulé Tab’arnaques est le fruit d’une première collaboration entre Luc Baranger et André Marois, et espérons...
Depuis treize ans et autant de romans, cet auteur flirte avec l’escroquerie. Il s’est accaparé les destins de dizaines de personnages au point de figurer en bonne place dans le Dictionnaire des littératures policières de Claude Mesplèdes.
Le recueil de nouvelles intitulé Tab’arnaques est le fruit d’une première...
Depuis treize ans et autant de romans, cet auteur flirte avec l’escroquerie. Il s’est accaparé les destins de dizaines de personnages au point de figurer en bonne place dans le Dictionnaire des littératures policières de Claude Mesplèdes.
Le recueil de nouvelles intitulé Tab’arnaques est le fruit d’une première collaboration entre Luc Baranger et André Marois, et espérons qu’il ne...
André Marois
André Marois écrit autant pour les jeunes que pour les adultes, mais le noir est résolument son genre de prédilection....
André Marois écrit autant pour les jeunes que pour les adultes, mais le noir est résolument son genre de prédilection. Nouvelliste et romancier, il a pris...
André Marois écrit autant pour les jeunes que pour les adultes, mais le noir est résolument son genre de prédilection. Nouvelliste et romancier, il a pris un malin plaisir à tuer au...
André Marois écrit autant pour les jeunes que pour les adultes, mais le noir est résolument son genre de prédilection. Nouvelliste et romancier, il a pris un malin plaisir à tuer au moins un personnage dans chacun de ses vingt et un bouquins.
Le recueil de nouvelles intitulé Tab’arnaques est le fruit d’une première collaboration entre Luc Baranger et André Marois, et espérons qu’il...
André Marois écrit autant pour les jeunes que pour les adultes, mais le noir est résolument son genre de prédilection. Nouvelliste et romancier, il a pris un malin plaisir à tuer au moins un personnage dans chacun de ses vingt et un bouquins.
Le recueil de nouvelles intitulé Tab’arnaques est le fruit d’une première...
André Marois écrit autant pour les jeunes que pour les adultes, mais le noir est résolument son genre de prédilection. Nouvelliste et romancier, il a pris un malin plaisir à tuer au moins un personnage dans chacun de ses vingt et un bouquins.
Le recueil de nouvelles intitulé Tab’arnaques est le fruit d’une première collaboration entre Luc Baranger et André Marois, et espérons qu’il ne...
EXTRAIT DE LA NOUVELLE «BLANC COMME NÈGRE»
Le matin, en se rasant ou en se beurrant de mascara à la truelle, les habitants de la province entendaient Lucie, d’un ton très docte de mandarin de faculté de médecine, livrer le fruit de sa réflexion chez Homier-Roy; à dix heures douze, elle était sur Canal Vie; à midi vingt-deux, sur RDI; l’après-midi, chez Monique Giroux;, plus tard, chez Michel Désautels, et c’était limite pour que sur les coups de vingt et une heure, elle n’y aille pas de son refrain chez Dan Behrman, entre un couplet suranné de Don’t Let Me Be Misunderstood et une version couillue de I’m a Hoochie Coochie Woman. Le maître mot de la vie de Lucie Morisa, c’était bien celui-là : exister.