Résumé
Un beau matin, les librairies de la ville reçoivent 10 romans, publiés chez autant d’éditeurs mais ayant le même titre, Notre pain quotidien. Qu’ils soient tous signés des initiales F. S. et que l’ensemble paraisse construire une seule et vaste fresque romanesque passe toujours, mais que deux des éditeurs soient assassinés enfume la rentrée littéraire d’un fameux brouillard.
Heureusement que l’enquête sera confiée au lieutenant Lemaître, lecteur érudit et grand praticien du subjonctif. On apprendra aussi à connaître la fougueuse Clotilde, brillante étudiante en lettres qui s’est mise en devoir de mettre un visage sur les énigmatiques initiales, le malheureux Flemmar Lheureux, existentiel errant, ex-professeur raté devenu libraire non moins minable, et son employeur, Édouard Masson, le mercantile et véreux propriétaire de la librairie du même nom.
Fabien Ménar
Professeur de littérature au cégep d’Ahuntsic, Fabien Ménar a écrit, de son propre aveu, Le Grand Roman de Flemmar pour...
Professeur de littérature au cégep d’Ahuntsic, Fabien Ménar a écrit, de son propre aveu, Le Grand Roman de Flemmar pour vivre l’une des belles...
Professeur de littérature au cégep d’Ahuntsic, Fabien Ménar a écrit, de son propre aveu, Le Grand Roman de Flemmar pour vivre l’une des belles aventures qui soient dignes d’être...
Professeur de littérature au cégep d’Ahuntsic, Fabien Ménar a écrit, de son propre aveu, Le Grand Roman de Flemmar pour vivre l’une des belles aventures qui soient dignes d’être vécues : l’écriture. Il a également publié, aux Éditions Québec Amérique, Le Musée des introuvables, roman policier où la littérature était en jeu.
Professeur de littérature au cégep d’Ahuntsic, Fabien Ménar a écrit, de son propre aveu, Le Grand Roman de Flemmar pour vivre l’une des belles aventures qui soient dignes d’être vécues : l’écriture. Il a également publié, aux Éditions Québec Amérique, Le Musée des introuvables, roman policier où la littérature...
Professeur de littérature au cégep d’Ahuntsic, Fabien Ménar a écrit, de son propre aveu, Le Grand Roman de Flemmar pour vivre l’une des belles aventures qui soient dignes d’être vécues : l’écriture. Il a également publié, aux Éditions Québec Amérique, Le Musée des introuvables, roman policier où la littérature était en jeu.
Le concert médiatique se fit d’autant plus bruyant que F. S. était résolu à se taire. Des piles de Notre pain quotidien s’entassaient dans les vitrines des librairies, pendant que l’auteur restait sourd aux invitations, se refusait aux caméras, ne foulait aucun plateau de télévision. Et alors que des dizaines d’écrivains, bien visibles et tout ce qu’il y a de disponible, attendaient l’aumône d’un petit papier ou le clin d’œil d’un flash, la presse excitée par le mystère n’en avait que pour ce F. S., déployant tous les efforts pour ajouter aux initiales au moins quelques lettres. Mais le tourbillon de recherches lancées pour tous les chefs de rubriques culturelles ne rapporta pas le moindre indice. Personne n’était en mesure d’identifier l’écrivain, pas même les éditeurs, qui jurèrent leurs grands dieux qu’ils ne lui avaient jamais vu le bout de doigt avec lequel il avait bien fallu qu’il signe le contrat.