Résumé
Seule femme dans un monde d’hommes qui lui est hostile, Marie est conductrice de train minier dans le Nord québécois. Un soir de tempête, son convoi s’immobilise. Déraillement ? Elle se précipite au-dehors pour mesurer les dégâts et se retrouve face contre neige, blessée. Elle est recueillie par un mystérieux ermite, envoûtant et lettré. Sur fond de préoccupations environnementales, de tensions entre Blancs et autochtones, se tisse une histoire d’amour. Une histoire périlleuse et sauvage, comme le territoire que Marie sillonne avec son train.
Isabelle Grégoire
Journaliste globe-trotteuse, Isabelle Grégoire a réalisé des reportages dans une quarantaine de pays. Collaboratrice aux...
Journaliste globe-trotteuse, Isabelle Grégoire a réalisé des reportages dans une quarantaine de pays. Collaboratrice aux magazines L’actualité et ...
Journaliste globe-trotteuse, Isabelle Grégoire a réalisé des reportages dans une quarantaine de pays. Collaboratrice aux magazines L’actualité et Châtelaine, elle a remporté...
Journaliste globe-trotteuse, Isabelle Grégoire a réalisé des reportages dans une quarantaine de pays. Collaboratrice aux magazines L’actualité et Châtelaine, elle a remporté plusieurs prix pour son travail. Avec ses trois romans, Sault-au-Galant, Fille de fer et Vert comme l’enfer, elle s’est imposée comme une voix forte du roman noir québécois.
Journaliste globe-trotteuse, Isabelle Grégoire a réalisé des reportages dans une quarantaine de pays. Collaboratrice aux magazines L’actualité et Châtelaine, elle a remporté plusieurs prix pour son travail. Avec ses trois romans, Sault-au-Galant, Fille de fer et Vert comme l’enfer, elle s’est imposée comme une voix forte du...
Journaliste globe-trotteuse, Isabelle Grégoire a réalisé des reportages dans une quarantaine de pays. Collaboratrice aux magazines L’actualité et Châtelaine, elle a remporté plusieurs prix pour son travail. Avec ses trois romans, Sault-au-Galant, Fille de fer et Vert comme l’enfer, elle s’est imposée comme une voix forte du roman noir québécois.
« Ce que je vois en rouvrant les yeux est plus glaçant que l’hiver de la Côte-Nord. Mon haleine se fige dans le soleil froid. L’orignal blanc est là, juste devant la fenêtre. La bête que j’ai écrasée sous les roues de mon train me dévisage de ses yeux vides d’où s’écoulent des larmes rouges. Sa grosse tête trône sur une table de bois. Secouée, je me replie à l’intérieur et ferme la fenêtre. C’est quoi cette mise en scène débile ? Qu’est-ce que je fous ici ? »