Résumé
Quatre parties rythment ce chant de résistance : « La vie est si quotidienne », « Une chambre d’hôtel près de Tarquinia », « La liste des improbabilités », « La modernité nous joue parfois des tours »; autant de repères dans cette démarche vers l’acceptation et l’enthousiasme des recommencements.
Normand de Bellefeuille
Normand de Bellefeuille a publié plusieurs ouvrages salués par la critique, dont Le Livre du devoir, Lascaux, Ce que disait ...
Normand de Bellefeuille a publié plusieurs ouvrages salués par la critique, dont Le Livre du devoir, Lascaux, Ce que disait Alice, Obscènes et Elle était ...
Normand de Bellefeuille a publié plusieurs ouvrages salués par la critique, dont Le Livre du devoir, Lascaux, Ce que disait Alice, Obscènes et Elle était belle comme une idée. La ...
Normand de Bellefeuille a publié plusieurs ouvrages salués par la critique, dont Le Livre du devoir, Lascaux, Ce que disait Alice, Obscènes et Elle était belle comme une idée. La Marche de l’aveugle sans son chien (Québec Amérique, 2000) lui a valu le Prix du Gouverneur général du Canada et le prix Alain-Grandbois de l’Académie des lettres du Québec. Il a été tour à tour...
Normand de Bellefeuille a publié plusieurs ouvrages salués par la critique, dont Le Livre du devoir, Lascaux, Ce que disait Alice, Obscènes et Elle était belle comme une idée. La Marche de l’aveugle sans son chien (Québec Amérique, 2000) lui a valu le Prix du Gouverneur général du Canada et le prix Alain-Grandbois de...
Normand de Bellefeuille a publié plusieurs ouvrages salués par la critique, dont Le Livre du devoir, Lascaux, Ce que disait Alice, Obscènes et Elle était belle comme une idée. La Marche de l’aveugle sans son chien (Québec Amérique, 2000) lui a valu le Prix du Gouverneur général du Canada et le prix Alain-Grandbois de l’Académie des lettres du Québec. Il a été tour à tour professeur,...
(Extrait du prologue)
Non, il n’y a pas d’erreur en page couverture.
Ce livre ne constitue en tout et pour tout qu’un seul poème.
J’aurais pu souhaiter écrire récit ou texte, ou, comme je l’ai souvent promis cyniquement à certains, autobiographie non autorisée, mais je n’en suis plus tout à fait à ce genre d’acrobaties théoriques, et trop de clins d’œil de ce genre déjà m’ont rendu semi-voyant.
Je dirai donc exactement poème, avec tout ce que ce singulier suppose et exige.
Et c’est cette même exigence, de moins en moins requise, de moins en moins admise qui, en 1985, m’avait incité à placer en exergue de cet autre poème (un tout petit livre intitulé Cold Cuts un/deux ) cette phrase de Pierre Guyotat : La fatigue est telle à ce moment qu’il faut s’étendre, mais alors l’angoisse décuple du fait que dans la station couchée, le cerveau se trouve au même niveau que la merde. Je ne savais pas encore à l’époque qu’il y a, sur le même axe, le cœur qui change tout.