Résumé
Pour faire l’expérience de l’émerveillement amoureux, il faut parfois que nous happe la souffrance de la solitude.
Comment un homme et une femme peuvent-ils se rencontrer, se découvrir, aspirer l’un à l’autre, se perdre, s’apercevoir entre les branches des luxuriantes forêts de la contingence, sublimer le besoin de leur présence mutuelle à travers l’immense vide de leur absence?
Dans ce recueil de récits poétiques imprégnés de mysticisme, Claude Mineraud envoûte les sens, et capture, comme une pierre précieuse sertie dans un joyau, la saveur de la femme et la couleur de sa quête par l’homme.
Claude Mineraud
Dès l’âge de 29 ans, Claude Mineraud fonde sa première entreprise de courtage d’assurances. La position avantageuse...
Dès l’âge de 29 ans, Claude Mineraud fonde sa première entreprise de courtage d’assurances. La position avantageuse qu’il occupe longtemps, dans le...
Dès l’âge de 29 ans, Claude Mineraud fonde sa première entreprise de courtage d’assurances. La position avantageuse qu’il occupe longtemps, dans le milieu, fait de lui un témoin...
Dès l’âge de 29 ans, Claude Mineraud fonde sa première entreprise de courtage d’assurances. La position avantageuse qu’il occupe longtemps, dans le milieu, fait de lui un témoin privilégié des dérives destructives du capitalisme financier. En février 2011, il laisse derrière lui des firmes prospères pour s’investir dans l’édition et devient le président des Éditions de la...
Dès l’âge de 29 ans, Claude Mineraud fonde sa première entreprise de courtage d’assurances. La position avantageuse qu’il occupe longtemps, dans le milieu, fait de lui un témoin privilégié des dérives destructives du capitalisme financier. En février 2011, il laisse derrière lui des firmes prospères pour s’investir dans...
Dès l’âge de 29 ans, Claude Mineraud fonde sa première entreprise de courtage d’assurances. La position avantageuse qu’il occupe longtemps, dans le milieu, fait de lui un témoin privilégié des dérives destructives du capitalisme financier. En février 2011, il laisse derrière lui des firmes prospères pour s’investir dans l’édition et devient le président des Éditions de la...
Elle était mince et nette. Des jambes de lianes lisses et robustes. Des cuisses nerveuses et sèches. Les bras nus prolongeaient la beauté des jambes et révélaient une noblesse et une sérénité. Le visage ne déplaçait aucune ligne. Un vase de cristal nu et pur. Les yeux, très bleus, et la bouche, sans ombre, étaient inviolés. Les épaules appelaient à la ferveur. C’était une fille des mers froides, des dunes balayées par le vent du nord, des eaux vertes de varechs. Mais aussi une lande de douceur, un manoir protégé de murs de pierres sèches, une plage sans perversité, une vallée de larges champs verts. Rien ni personne ne pourraient jamais la souiller. Pendant des mois, il la suivit et veilla sur elle. De loin, sans impatience.